Arreter de fumer : quelles solutions ?

Nous savons tous que fumer est source de nombreux problèmes de santé sur de nombreux plans (respiratoires, cardio-vasculaire, dentaire…). Cependant, l’arrêt du tabac, bien que souhaitable, est un cap très difficile pour de nombreux fumeurs. Heureusement, plusieurs méthodes et alternatives existent pour cesser la cigarette et donc se prémunir de ses dangers.

Le vapotage

Une pratique qui se démocratise avec l’arrivée de nombreux professionnels dans le domaine, comme le spécialiste arsenevalentin.com

Rappelons que le fait de vapoter, à l’aide d’une cigarette électronique, permet d’éviter l’ingestion d’un grand nombre de substances nocives que comportent les cigarettes traditionnelles, comme des métaux lourds de type mercure, des gaz toxiques comme le monoxyde de carbone ou encore les goudrons. 

En revanche, le fait de vapoter ne va pas priver un fumeur de nicotine, et se présente donc comme une alternative intéressante pour éviter le phénomène de sevrage trop brutal. En outre, un fumeur souhaitant arrêter la cigarette va, progressivement, perdre l’habitude de sortir celle-ci de son paquet, sortir son briquet… Autant d’automatismes qui créent et alimentent l’addiction à la cigarette.

Enfin, le taux de nicotine présent dans les cigarettes électroniques est drastiquement réduit par rapport aux cigarettes que l’on qualifie de classiques. Le corps du fumeur va donc se déshabituer petit à petit de cette substance, évitant ainsi un effet rebond très probable en cas d’arrêt total du jour au lendemain.

Les patchs à la nicotine

Pour reprendre notre point précédent, à savoir l’addiction à la nicotine, une alternative existe pour ceux et celles souhaitant arrêter de fumer : les patchs à la nicotine appelés aussi patchs anti-tabac.
Leur principe est simple : ils délivrent une quantité précise de nicotine dans l’organisme afin de permettre au fumeur en sevrage de bénéficier d’une dose adaptée pour, progressivement, déshabituer son organisme de cette substance.

Un bon moyen de perdre l’habitude de fumer tout en procédant à un sevrage progressif qui limitera grandement le risque de craquer et de rallumer une cigarette après plusieurs jours, semaines ou mois d’efforts. Les patchs libèrent une quantité de nicotine suffisante pour éviter les syndromes liés au manque, mais moindre qu’en consommant des cigarettes. Aussi, il est essentiel de choisir le bon dosage pour ces patchs ; pour une personne fumant un paquet par jour (soit 20 cigarettes), on préconise ainsi un patch anti-tabac dosé à 21mg de nicotine.

Au même titre que la vape, cette solution pour arrêter de fumer présente pour autre avantage de cesser l’ingestion des substances toxiques que l’on trouve dans la cigarette, souvent bien plus nocives que la simple nicotine elle-même.

La médecine douce

Le fait de fumer, et de ne pas arriver à s’en défaire, découle souvent d’un mal-être comme un stress quotidien, du mal à se concentrer, un besoin de se stimuler… Autant de facteurs sur lesquels il est possible d’intervenir grâce à différentes médecines douces (appelées aussi médecines parallèles).

L’hypnose a par exemple fait ses preuves pour aider les fumeurs à se défaire de la cigarette, mais aussi faire face aux sources de leur envie de fumer. La sophrologie peut elle aussi représenter un excellent moyen de se défaire progressivement de son addiction.
Enfin, il est également possible de se tourner vers un psychologue pour mieux identifier ses émotions négatives poussant à consommer des cigarettes et travailler sur ceux-ci pour mieux les combattre… et donc combattre également son addiction.